Cette année trois chœurs se réunissent pour vous proposer une œuvre musicale originale magnifique et exigeante : La Misa Tango de Martin Palmeri compositeur argentin contemporain . Cette messe de structure classique reprend dans l’orchestration des éléments musicaux du tango et plus précisément du tango argentin.C’est une fusion entre le domaine religieux et la musique du tango . Nous serons accompagnés du quintet à cordes Ad Libitum, de Jérôme Benois au piano et Jeremy Vannereau au bandonéon. »Cerise sur le gâteau »les danseurs Nadia et Asdine Makouf danseront devant vous et vous proposeront une animation en fin de concert.Je serai parmi les 80 choristes qui seront présents sur scène pour vous enchanter. Rendez-vous le 1er juin à 20h30 à 20h30 à l’espace Paul Jargot à Crolles (38) ou le 8 juin à 20h30 au Coléo à Pontcharra (38) Vous pouvez acheter vos billets en prévente auprès des choristes ou sur internet avec HelloAsso ( concert trois chœurs en Grésivaudan ) Concert trois choeurs en Grésivaudan misatango martin palmeri
Une audience attentive et passionnée, un pianoforte aux sons diaphanes, un chanteur à la voix émouvante, un peu de poésie et beaucoup de musique : le baryton Stephen Lancaster et la pianofortiste Laure Colladant ressuscitent, le temps d’un concert, l’atmosphère feutrée des Schubertiades, réunions musicales et amicales en petit comité, que le compositeur affectionnait. Entre les murs de l’église de Brignoud résonneront des Danses allemandes pleines de vie, et les sublimes et poignants Lieder du Schwanengesang, ultime recueil du compositeur.
BACH, 2ème partita en Ré Mineur BWV 1004 (arr. pour trio avec piano) Dimitri CHOSTAKOVITCH ,Trio N° 1 RACHMANINOFF, Trio élégiaque n°2
Jean-François Zygel dit du Trio Zadig dans son émission « La Preuve par Z » sur France Inter : « Remarquable complicité et grande justesse d’intention » ! Plein de fraîcheur et d’audace, le Trio Zadig redonne de la vitalité au répertoire du trio, de Haydn aux compositeurs de notre temps. La profondeur et la sincérité de son interprétation, son jeu tantôt poétique ou éclatant, en font l’auteur de prestations remarquées. Tout comme le héros de Voltaire, la vie du Trio Zadig s’annonce longue et pleine d’aventures
Miclen LaiPang, violon Marc Girard Garcia, violoncelle Ian Barber, piano
TAFFANEL, Quintette à vent RAVEL, Le Tombeau de Couperin DVORAK, Quatuor opus 12 n°16 « Américain »
Né en 2020, le jeune quintette Pentagone rassemble l’élite de l’école française et propose une immersion dans les sonorités si riches et diversifiées du quintette à vent. Leur programme aux airs de voyage musical les mène de l’Ancien au Nouveau Monde, de la France à l’Amérique. Au raffinement et à l’élégance du Quintette de Taffanel et du Tombeau de Couperin de Ravel succèdent ainsi les atmosphères contrastées de Summer Music de Barber, tour à tour indolentes et acérées, et les sublimes mélodies inspirées de thèmes amérindiens du Quatuor Américain de Dvořák.
Nikolai Song, flûte traversière
Freya Obijon, hautbois
Bastien Marques , basson
Marianne Tauzin , cor Anaïde Apelian, clarinette
Mardi 4 juillet
BARRAUX Salle Vauban LUDWIG VAN BEETHOVEN Intégrale des sonates pour violoncelle et piano
18h Acte 1 Concert Découverte Sonate nº1 pour violoncelle en fa majeur op. 5 Variations sur un thème de la flute enchantée Sonate nº4 pour violoncelle et piano en do majeur, opus 102 nº 1
20h30 – ACTE II Sonate nº2 pour violoncelle et piano en sol mineur, opus 5 nº 2 Sonate nº3 pour violoncelle et piano en la majeur, opus 69 Sonate nº5 pour violoncelle et piano en ré majeur, opus 102 nº 2
François Salque est de ces musiciens purs et sans concession au jeu ciselé du plus beau lyrisme. Son archet à la fois précis et incandescent en fait un des meilleurs interprètes français de sa génération. À ses côtés, Jean-François Heisser est juste royal. Son expérience du grand répertoire classique, son écoute attentive et sa palette de timbres envoûtante l’ont conduit à se produire sur les plus grandes scènes internationales de musique de chambre. L’indéfectible complicité musicale de ces deux solistes, que les dernières années passées à collaborer n’ont fait que renforcer, et leur compréhension profonde des rouages beethoveniens, emprunts d’une spiritualité éternellement contemporaine, nous permet de suivre une des plus puissantes évolutions stylistiques et esthétiques de l’histoire de la musique. Des premières Sonates opus 5, virtuoses et exubérantes, jusqu’aux explorations les plus modernes des deux dernières Sonates opus 102 en passant par le romantisme incandescent allié à la perfection formelle de la célèbre 3ème Sonate opus 69 en la majeur une des oeuvres de musique de chambre romantiques les plus jouées au monde, ces deux interprètes nous offrent un cycle somptueux.
Jean-François Heisser, piano François Salque, violoncelle
LES CORDES ROMANTIQUES Manon Galy, victoire de la musique 2022
SCHUBERT – BEETHOVEN – BRAHMS
Déjà recherchée par les plus belles salles internationales, Manon Galy, Révélation Soliste instrumental aux Victoires de la Musique est à l’orée d’une fantastique carrière ! Soliste au jeu aussi intense et lyrique que précis et virtuose, elle est entourée ici d’une équipe de musiciens de très haut vol dans un programme ambitieux. Alliant l’élégance et la perfection formelle du classicisme aux émotions musicales bouleversantes de l’époque romantisme, Brahms signe avec son sextuor à cordes une des œuvres pour cordes les plus célèbre de l’histoire de la musique. Ce chef-d’œuvre sera introduit par un trio de Beethoven interprété par des jeunes solistes parmi les plus doués sur les scènes internationales.
Manon Galy & Noemi Gasparini, violons Héloïse Houzé & Jean Sautereau, altos Maria Andrea Mendoza & François Salque, violoncelles
Mélangeant traditions tziganes et jazz américain, le “swing gitan” fier et particulièrement émouvant, éclot à la croisée de cultures fort éloignées. Fougue, swing et inventivité sont ainsi au rendez-vous avec Alba Obert et ses complices. Ces quatre jeunes virtuoses maîtrisent à la perfection les répertoires de Monk, Coltrane, Mingus, ou encore Bernstein dans le style de Django !
Alba Obert, violon Romain Salmon, guitare classique Fédia Amice, guitare acoustique Tom Guillois, contrebasse
Vous cherchez une idée originale pour passer la soirée du samedi 1er avril ? Vous cherchez une idée de sortie en famille ou avec des amis ?
Nous vous proposons LA bonne idée : réservez dès aujourd’hui votre place pour l’un des concerts de la Chorale Mosaïque de Crolles avec son programme 2023 « Renaissance, Balkans et Tango » plein de surprises !!
L’édition 2022 du festival Berlioz est placée sous les signes de la fraternité et de la paix. Belle idée, car en ses temps troublés cela fait grand bien d’entendre Berlioz nous annoncer que : « L’amour et la musique sont les deux ailes de l’âme ». Ce festival, son festival, ce sont d’abord des rencontres avec le public, des découvertes avec des musiciens exceptionnels et des voyages musicaux. Cette année encore ce sera une aventure extraordinaire car le programme est merveilleux.
Jean Pierre Barbier, président du Département de l’Isère et Bruno Messina lors de la conférence de presse de lancement du festival
Bruno Messina, son directeur, nous le promet. La Côte Saint-André redeviendra ce lieu magique.
Orchestre de Chambre de Lausanne dirigé par Renaud Capuçon
Il y en aura pour tous les goûts avec sa programmation généreuse et ouverte. Voyageant en musique de Londres à Moscou, comme Berlioz l’a fait et embrassant le monde vous y trouverez « des milliers de sublimités ».
Le public pourra assister au château Louis XI à des concerts symphoniques dirigés par les plus grands chefs d’orchestres.
Orchestre Philharmonique de Radio France dirigé par Mikko Franck
Il pourra aussi se régaler en écoutant ses musiques de chambre préférées en l’église de la côte Saint-André. Mais d’abord, il pourra danser, chanter et jouer avec Berlioz au bal d’ouverture. Et comme ce festival nous réserve chaque année de nombreuses surprises…
La Château Louis XI – La halle médiévale – Le Musée Hector Berlioz
Rendez-vous du 18 au 31 aout 2022 à la Côte Saint-André. Claude Muller
La standing ovation qui clôt le dernier concert de « Musique dans le Grésivaudan » est emblématique de la réussite de ce festival. Ses cinq soirées de 2021 se sont toutes jouées à guichet fermé. C’est vous dire son succès. Peut être la soif de sorties après le confinement y est pour quelque chose mais je suis sûr que la qualité de la programmation de ce festival a beaucoup comptée dans cet engouement du public. La présidente, Brigitte Marin, lors de sa présentation, nous racontera qu’un festival se construit pièce après pièce, comme une maison et que cette dernière soirée en l’église de Saint Ismier en est l’aboutissement, comme un bouquet sur le toit. C’est symbolique. Jugez-en plutôt : tout d’abord trois jeunes artistes (un violon, un alto et un violoncelle) se lancent dans une interprétation des « Variations de Goldberg » remarquable. Et, quand on connait la qualité et la précision des partitions de Jean Sébastien Bach, on ne peut qu’être admiratif devant leur prestation. Leur musique est si « fluide » qu’ils en font un jeu, les musiciens se répondant dans un tempo parfait. Malgré les masques, la joie se lit sur les visages du public. Et surtout, quelle belle idée de placer ces jeunes interprètes devant le vitrail d’Arcabas. Le voyage n’en est que plus fantastique. L’artiste d’Art sacré nous disait souvent « l’art plus de l’art égal un spectacle exaltant. » Je crois que pendant ce concert, j’ai encore mieux compris ce qu’Arcabas voulait nous dire.
La joie éclaire l’église de Saint Ismier lorsque les cinq artistes (3 violons, un alto et une violoncelliste) se lancent à corps perdus dans les quatre saisons de Vivaldi. Au Printemps, à la fougue des musiciens les spectateurs répondent avec tout leur enthousiasme. La connivence entre ces artistes se lit sur leurs visages.
Chacun à son tour, chaque violoniste se fait soliste dans l’un des concertos de cette ode à la nature. En Eté, les musiciens se prennent pour des oiseaux. En Automne, ils exultent de bonheur en s’amusant à nous surprendre avec leurs joyeuses ritournelles. En Hiver, lorsque l’orage gronde notre âme s’envole dans une course effrénée au paradis de la musique. Mais, finalement, grâce à eux, le soleil brillera toujours dans le ciel de Musique dans le Grésivaudan…
A tout seigneur tout honneur, Musique dans le Grésivaudan posera ses tréteaux dans les lieux patrimoniaux de notre vallée du 28 juin au 7 juillet 2021. Mais, attention réservez vite car la soirée du 28 juin à la Maison des Arts de Montbonnot affiche déjà complet. Je vous conseille le concert du jeune talentueux compositeur et pianiste Jean Fréderic Neuburger, le mercredi 30 juin à 20h 30 dans la salle Vauban du Fort Barraux. Le vendredi 2 juillet à 20h 30 en l’église de Lumbin, les jeunes interprètes du Trio Söra vous feront découvrir un répertoire de toute beauté. On ne présente plus la pianiste Laure Colladant et le violoncelliste François Salque tant ils ont éclairé ce festival. Ils seront le lundi 5 juillet en l’église de Brignoud pour nous enchanter encore. Enfin, en clôture de ce festival, le vendredi 7 juillet, à 20h 30 en l’église de Saint-Ismier, un quintette de jeunes et talentueux musiciens nous interprétera l’un des « tubes » de la musique classique : Les Quatre Saisons de Vivaldi, dans une version intimiste, et les Variations Goldberg de Bach.
Grésiblues investira les villages du Grésivaudan avec un concert gratuit en plein air chaque soir pendant 1 semaine.
Du dimanche 4 au vendredi 9 juillet 2021, 6 soirées de blues vont se succéder dans 6 communes différentes : Le Touvet, Le Cheylas, Barraux, Bernin, Montbonnot et Crolles.
Le festival de l’Arpenteur qui se déroule tous les ans aux Adrets dans le massif de Belledonne se passera du 3 au 10 juillet 2021.
Arts vivants, littératures, rencontres insolites seront au programme. Ce sera une aventure atypique pour les artistes invités.
Ils se produiront sur scène ou dans des « bivouac », tablées ou causeries bien arrosées, ou même en marche, vers les refuges ou sur les crêtes…
Après un an d’absence, c’est le 17 août 2021 à la Côte Saint André que nous reviendrons à la vie avec le Festival Berlioz. Sa très riche programmation annoncée à la villa de « La Casamaures » devrait nous consoler d’une si longue attente. Ce n’est plus la Covid qui nous guidera mais Berlioz (programmé par Bruno Messina)
qui nous régalera avec tous ses spectacles. Tout commencera par une grande fête champêtre au bord du lac de Roybon, comme le compositeur les aimait. Il allait souvent à travers champs rejoindre des bals populaires pour danser le rigodon. C’était sa source d’inspiration préférée. Pour nous aussi cette grande fête de l’eau sera un moment de grâce autour des fameuses Water Music de Haendel. Elle sera suivie d’un feu d’artifice sur le lac, ce qui nous mettra dans l’ambiance incroyable de ce festival. « L’amour et la musique sont les deux ailes de l’âme » nous disait Berlioz.
Les deux semaines suivantes seront éclairées par de nombreux concerts dont je vous laisse découvrir la richesse ici. Impossible de les citer tous, il vous faudra peut-être faire des choix drastiques. Je ne peux que vous conseiller le Gala de Saint-Saëns avec l’orchestre Les Siècles sous la baguette de François Xavier Roth et Renaud Capuçon au violon. Cette soirée devrait être jubilatoire. Puis toujours sous la baguette de François Xavier Roth la suite tant attendue de cet immense opéra : Les Troyens. Berlioz a mis trois ans à l’écrire (de 1860 à 1863) mais n’en a vu que la deuxième partie. Ceux qui ont vu la première partie en 2019 auront ainsi le privilège de le voir en entier.
La Damnation de Faust, cette aventure dramatique consacrée à la contemplation de la nature et qui sauvera la belle Marguerite de l’enfer sera donnée par l’orchestre et le cœur du Théâtre Marriinski de Saint Pétersbourg placé sous la direction de Valéry Gergiev. Et puis parce que la fin est toujours belle, les derniers jours de ce festival seront consacrés à la terre, la vie et la nature… Je vous souhaite « Tout le bonheur du monde ». Claude Muller
Ce festival de Musique de chambre revient du 28 juin au 7 juillet et c’est le bonheur qui pointe son nez… Avec un programme d’exception.
Jugez plutôt :
L’ouverture de cette édition est fixée au 28 juin (20h) à Montbonnot dans la Salle des Arts, la bien nommée. C’est l’ensemble Les Bons Becs qui inaugurera ce festival. Quatre clarinettes et une percussion pour un programme tout en mélange des genres, du classique au jazz, en passant par les musiques traditionnelles et populaires.
Jugez-en plutôt : tout d’abord trois jeunes artistes (un violon, un alto et un violoncelle) se lancent dans une interprétation des « Variations de Goldberg » remarquable. Et, quand on connait la qualité et la précision des partitions de Jean Sébastien Bach, on ne peut qu’être admiratif devant leur prestation. Leur musique est si « fluide » qu’ils en font un jeu, les musiciens se répondant dans un tempo parfait. Malgré les masques, la joie se lit sur les visages du public. Et surtout, quelle belle idée de placer ces jeunes interprètes devant le vitrail d’Arcabas. Le voyage n’en est que plus fantastique. L’artiste d’Art sacré nous disait souvent « l’art plus de l’art égal un spectacle exaltant. » Je crois que pendant ce concert, j’ai encore mieux compris ce qu’Arcabas voulait nous dire.
La joie éclaire l’église de Saint Ismier lorsque les cinq artistes (3 violons, un alto et une violoncelliste) se lancent à corps perdus dans les quatre saisons de Vivaldi. Au Printemps, à la fougue des musiciens les spectateurs répondent avec tout leur enthousiasme. La connivence entre ces artistes se lit sur leurs visages. 
Ce festival de Musique de chambre revient du 28 juin au 7 juillet et c’est le bonheur qui pointe son nez… Avec un programme d’exception. 
L’ouverture de cette édition est fixée au 28 juin (20h) à Montbonnot dans la Salle des Arts, la bien nommée. C’est l’ensemble 
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